vendredi 29 février 2008

Wet Thursday...

(Jeudi humide...)

En effet, ce jeudi 28 février, notre facétieux terroriste ayant eu vent de nos nouveaux supports éditoriaux, à savoir le présent site, et la gazette (version papier permettant aux malheureux non-adsliens de se joindre à notre mouvement malgré tout), a décidé de mener une campagne vengeresse à l'encontre de nos amis du comité rédactionnel !

Ces faits nous ont été rapportés par l'un de nos envoyés spéciaux, qui se trouvait sur zone pendant ses RTT (Remets Tes Tongs) alors qu'il se délectait d'une bonne crêpe...

En effet, l'infâme trublion a surgi accompagné de sa malheureuse épouse, armés de pistolets à eau, à l'intérieur de la crêperie bondée de clients innocents. Ces premiers ayant attendu insidieusement que le lieu de ravitaillement ô combien convivial commence à se vider, prirent en otage les clients restés aux deux dernières tables, la première étant occupée par une clientèle internationale, et l'autre par notre correspondant et son conjoint venus prendre du bon temps, au calme, dans cette période de troubles.


Puis il fonça dans l'arrière-cuisine pour s'attaquer au mari de la crêpière, alors que la malheureuse, mais non moins complice, épouse surveillait les otages en salle.
Fort heureusement, celui-ci, plusieurs fois victime, s'était préparé à riposter en remplissant une bassine d'eau.


Trempé (1), mais ne s'avouant pas vaincu, le malicieux arroseur remplît à son tour un seau puis retourna en arrière-cuisine. Un combat mémorable s'en suivit puisque la bassine avait, elle aussi, été à nouveau remplie ! Score : 2-1.













De retour en salle, trempé (2), il menaça directement les otages et leur tira dessus, en pleine digestion !
Fier de son forfait, il s'en allât fanfaronner sur la place... Mais alors qu'il sortait, Monsieur Bassine l'attendait encore, et le prît par surprise, profitant de l'aubaine pour nettoyer le trottoir de la crêperie...


Pendant ce temps, bénéficiant de la diversion, l'un des co-otages internationaux cacha les sac et vêtement de notre terroriste, le laissant dans l'embarras et... en chemise, trempé (3).
Enfin, cela se termina en bataille d'eau à coups de carafes, dans la salle, ce qui avançât les patrons pour le ménage...

Mais attention ! L'histoire ne s'arrête pas là ! Toujours trempé (4,5,6), l'idée lui est alors venue de s'en prendre à la devanture de l'épicier certes fournisseur d'armes, mais ayant fait amende honorable en rejoignant notre mouvement et son comité rédactionnel. Aidé d'un complice masqué, ce fût sitôt dit, sitôt fait, et les malotrus bloquèrent les portes de la boutique avec des palettes, empêchant leur ouverture de l'intérieur et laissèrent un message proférant des menaces d'exécution (au rhum ??? curieux procédé) !

Ce fût enfin au tour de notre correspondant-tavernier Brittanique d'en être victime.
Ce dernier absent ce soir-là, il attaqua violemment la pauvre barmaid responsable du pub par intérim. Espérant revenir prochainement pour avoir affaire au Boss directement, il se calma, commanda et bût plusieurs "nectars-à-base-de-maïs-filtré- au-travers-d’une-couche-de-charbon-de-bois-d'érable-originaire- du-Tenessee", coupé avec un "soda-tout-aussi-américain-donnant- un-effet-explosif-lorsqu'on-le-mélange-avec-une-certaine- marque-de-bonbons-à-la-menthe"...
Puis il fît mine de partir, pour faire un retour par surprise encore plus fracassant. Heureusement, notre jeune responsable, rompue aux techniques de self-défense, sentant le vent venir, prît les devants en condamnant les portes. Le retour fût effectivement fracassant, mais contre ladite porte. Refroidi, notre sniper à eau rentra chez lui.

Cet acte héroïque mît donc fin aux combats de la nuit et permît à la place de Huelgoat de retrouver son calme et sa sérénité habituels.

P.S. : Attention, notre Sniper preneur d'otages recrute même chez les plus jeunes et les nounours - MEFIEZ-VOUS !!!













Notre mouvement continue ! Le FLVPE vaincra !

mercredi 27 février 2008

Match de foot...

Le dimanche 4 novembre 2007 - Stade de Huelgoat

Remise de ballon lors du match au sommet USHP (Huelgoat-Plouyé) - AS Le Cloître
Nos victimes sont les sponsors du ballon, représentés par Madame pour donner le coup d'envoi...

"Bon, ben j'tire mon coup et j'me casse !"


Preuve que non, puisqu'elle est finalement restée avec nous jusqu'à la mi-temps.


Elle est sympa, quand même, cette fille !

mardi 26 février 2008

Le FLVPE : présentation

Chers Amis, ou Victimes,

Voici rien que pour vous un petit récapitulatif de l'histoire du Front de Libération des Victimes du Pistolet à Eau.

Le patron d'un bar-tabac de la place Aristide Briand à Huelgoat, que nous ne nommerons pas, a réussi à se fournir une arme de haute technologie, et n'hésite pas à s'en servir à l'encontre du quidam qui passe devant son échoppe, voire même de ses propres clients !!! Et ceci quel que soit le temps ou la température ! Oui, vous avez bien lu, cet homme sévit même en hiver !

Révoltés par de tels agissements, nous avons donc décidé de former le FLVPE, afin de venger les victimes de ce mauvais plaisantin.

Pour des raisons de sécurité évidente, nous agissons de façon anonyme, et vous ne verrez donc jamais nos visages.
Cependant, si vous aussi avez été victime de ce sacripant, vous pouvez nous rejoindre en nous envoyant un e-mail à qg.flvpe@gmail.com.

Notre première action a commencé le 14 décembre 2007, par l'envoi de lettres anonymes. Elle s'est poursuivie le lendemain par l'attribution de guirlandes de boîtes aux véhicules du terroriste et de sa malheureuse épouse, la décoration de l'entrée de leur résidence privée par le même type de guirlande, et enfin de la devanture du fonds de commerce siège de ces infamies, avec des banderoles signant notre action en prime !
























Malheureusement, ceci n'a pas découragé notre lutin démoniaque à user de son arme puisqu'il remettait ça dès le week-end suivant, lors de la fête
des Pères Noël...



Mais notre mouvement continue ! Le FLVPE vaincra !